Depuis des années, l’Union européenne conclut des accords de réadmission avec des pays tiers, tels que la Libye et l’Ukraine, en ce qui concerne la gestion des flux migratoires en Europe. Cependant, il n’est pas rare que cela conduise à des violations de principes du droit international, comme celui de non-refoulement. Les enjeux autour de ces pratiques ont abouti à la proposition, par la Commission européenne, d’un nouveau pacte sur l’asile et l’immigration.